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Le temps béni de l'Inquisition.

 

littérature,poésie,philosophie,sagesse,bonheur

 Pourquoi jeter des ténèbres sur l'idée-même de Dieu ? A quoi cela sert-il d'admettre sans discussion que l'homme est seulement un peu de viande en route vers le néant ? Quel risque prendrions-nous en reconsidérant une position pour le moins inconfortable et en envisageant la possibilité que la création de l'humanité fut le fruit de l'imagination débordante d'une force surnaturelle, l'effet d'une cause qui nous dépasse ? Aucun, évidemment. Alors, pourquoi nous en tenons-nous à des évidences qui n'en sont pas, à des théorèmes incompréhensibles et non avérés, à des "big-bang" qui ressemblent à des pétards mouillés, à l'invraisemblance d'un univers en expansion  parti d'un seul atome chauffé à blanc ?  L'éclat fossile des étoiles éteintes  apporte-t-il la preuve indiscutable que l'univers ne sera pas éternel, qu'il a eu un début et donc qu'il aura une fin ? Est-il si stupide que cela de supposer que le cerveau des scientifiques pourrait présenter une hypertrophie de l'hémisphère droit (celui qui calcule) et une atrophie de la zone proche du cortex, le lieu où naissent les intuitions les plus remarquables ?  Il est si facile de railler les poètes et les hommes de foi mais que dire des  esprits faibles qui s'agenouillent devant les prix Nobel et leurs dogmes qui ne supportent aucune contestation, sinon qu'ils nous ramènent au temps béni de l'Inquisition.          

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